[La revue QVT] Sport au travail, Accord-cadre sur la QVT dans la fonction publique, Burn out…
Cette semaine, la revue du web de J’Aime le Lundi vous entraîne du côté de l’activité sportive en entreprise, avant de revenir sur l’accord-cadre concernant la Qualité de Vie au Travail dans la fonction publique. Nous ferons ensuite un tour du côté du burn-out, qui concernerait plus de 12% de la population active française.
L’activité physique en entreprise serait un outil efficace pour atteindre le bien-être au travail
L’idée nous vient des pays scandinaves, au sein desquels les services RH ont commencé à étudier les bienfaits de l’exercice physique dans le cadre professionnel il y a une quinzaine d’années. Le sport est bon pour la santé, mais est également perçu comme un excellent rempart contre les risques psychosociologiques. L’activité sportive permet de se vider la tête, en vue notamment de prévenir le burn-out. Ainsi, des idées comme la mise à disposition d’une salle de sport, ou un suivi personnalisé par un coach, seraient autant de moyens de prévention.
A lire sur Novethic
Un projet d’accord-cadre sur la QVT dans la fonction publique en train d’aboutir
Les conditions des agents de la fonction publique sont de plus en plus difficiles. L’accord cadre en passe d’être fixé pour y remédier s’oriente ainsi selon deux axes : une organisation du travail qui s’appuie sur le développement d’une culture du collectif, et la recherche d’une meilleure articulation entre vie professionnelle et vie personnelle. Au menu, droit à la déconnexion, mise en place d’espaces d’expression, ou encore meilleur accompagnement des cadres… Le projet doit maintenant être soumis à l’approbation des syndicats.
A lire sur La Gazette.fr
Le burn-out concernerait 12% de la population active en France
Le burn-out est caractérisé par l’OMS par « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ». Il résulte d’un engagement professionnel excessif, et concernerait 3.2 millions de Français, selon une étude de Technologia. Le cabinet d’expertise conseille ainsi de considérer le phénomène comme tous les risques socioprofessionnels, et recommande aux entreprise de se pencher sur leur organisation du travail pour mieux s’en prémunir.
A lire sur L’Express